Scorpion Masters, le tournoi motard
Pôle Mécanique d'Alès samedi au lever du jour, les participants se préparent dans la brume. Le tournoi qui va sacrer le meilleur pilote moto français va bientôt commencer sous les yeux de la charmante Karine Sliz dans le rôle de la Dame. En lice s'avance la fine fleur du motocyclisme pour s'affronter dans des diciplines aussi diverses que le trial, l'enduro, la vitesse et le supermotard. Les destriers sont rutilants sous le soleil. Les concurrents se toisent sous leurs heaumes, la foule murmure. Ce soir elle aura un champion.
Scorpion nous a offert - littéralement car l'entrée était gratuite- une formule inédite : engager tous les pilotes dans quatre épreuves radicalement différentes, faisant fi de leurs spécialités respectives. Deux catégories : les moins de trente ans ( Ludivine Puy, Adrien Chareyre, Johnny Aubert, Loris Gubian, Louis Rossi, Christophe Nambottin ,Guillaume Dietrich, Jérémy Joly, Jérôme Bethume, Antoine Meo, Sylvain Bidart, Alexis Masbou.) et les plus de trente ans (Mickaël Pichon, Arnaud Vincent, Régis Laconi, Marc Germain, Serge Nuques, Denis Bouan, Frédéric Bolley, Cyril Esquirol, Laurent Pidoux, Bruno Camozzi, Sébastien Guillaume.).
Les visiteurs étaient les bienvenus autour des circuits et près des paddocks pour rencontrer leurs idoles dans une ambiance conviviale, même si les organisateurs attendaient visiblement beaucoup moins de monde. Une réussite totale en terme d'affluence, la police municipale ayant même dû fermer l'accès de la route menant au circuit pour cause de parking sauvage.
Les épreuves se sont déroulées à un bon rythme tout au long de la journée. Le trial sur trois pistes et l'enduro à travers la forêt le matin, 15 tours de circuit pour la vitesse et 12 pour le supermotard l'après-midi, tout cela dans l'incroyable douceur de l'été indien Gardois.
Les pilotes avaient toute liberté pour choisir leurs montures. Seule restriction : la même moto pour l'enduro et le supermotard et surtout les mêmes pneus... Ce qui n'a pas manqué de faire le spectacle : imaginez une piste de vitesse sur laquelle s'élancent des motos d'enduro chaussées de pneus à tétines. Les trajectoires étaient plus qu'approximatives et la glisse de mise. Certes contrôlée pour certains comme Serge Nuques, mais offrant tout de même une impression visuelle un peu étrange.
Adrien Chareyre, surprenant vainqueur de l'épreuve grâce à sa régularité. Jeremy Delenne nous a gratifiés d'une magnifique bataille avec Denis Bouan sur sa R6 lors de l'épreuve de vitesse. Le circuit n'étant pas rapide les monos n'ont rien lâché aux multis et voir un plateau aussi éclectique rouler au coude à coude comme en Rallyes Routiers est plutôt rare et assez spectaculaire. Les visiteurs interrogés à ce sujet étaient ravis de cette "nouveauté".
Scorpion nous a offert - littéralement car l'entrée était gratuite- une formule inédite : engager tous les pilotes dans quatre épreuves radicalement différentes, faisant fi de leurs spécialités respectives. Deux catégories : les moins de trente ans ( Ludivine Puy, Adrien Chareyre, Johnny Aubert, Loris Gubian, Louis Rossi, Christophe Nambottin ,Guillaume Dietrich, Jérémy Joly, Jérôme Bethume, Antoine Meo, Sylvain Bidart, Alexis Masbou.) et les plus de trente ans (Mickaël Pichon, Arnaud Vincent, Régis Laconi, Marc Germain, Serge Nuques, Denis Bouan, Frédéric Bolley, Cyril Esquirol, Laurent Pidoux, Bruno Camozzi, Sébastien Guillaume.).
Les visiteurs étaient les bienvenus autour des circuits et près des paddocks pour rencontrer leurs idoles dans une ambiance conviviale, même si les organisateurs attendaient visiblement beaucoup moins de monde. Une réussite totale en terme d'affluence, la police municipale ayant même dû fermer l'accès de la route menant au circuit pour cause de parking sauvage.
Les épreuves se sont déroulées à un bon rythme tout au long de la journée. Le trial sur trois pistes et l'enduro à travers la forêt le matin, 15 tours de circuit pour la vitesse et 12 pour le supermotard l'après-midi, tout cela dans l'incroyable douceur de l'été indien Gardois.
Les pilotes avaient toute liberté pour choisir leurs montures. Seule restriction : la même moto pour l'enduro et le supermotard et surtout les mêmes pneus... Ce qui n'a pas manqué de faire le spectacle : imaginez une piste de vitesse sur laquelle s'élancent des motos d'enduro chaussées de pneus à tétines. Les trajectoires étaient plus qu'approximatives et la glisse de mise. Certes contrôlée pour certains comme Serge Nuques, mais offrant tout de même une impression visuelle un peu étrange.
Adrien Chareyre, surprenant vainqueur de l'épreuve grâce à sa régularité. Jeremy Delenne nous a gratifiés d'une magnifique bataille avec Denis Bouan sur sa R6 lors de l'épreuve de vitesse. Le circuit n'étant pas rapide les monos n'ont rien lâché aux multis et voir un plateau aussi éclectique rouler au coude à coude comme en Rallyes Routiers est plutôt rare et assez spectaculaire. Les visiteurs interrogés à ce sujet étaient ravis de cette "nouveauté".
